There Is No Such Thing as Race
- In 1950, the United
Nations Educational, Scientific and Cultural Organization (UNESCO) issued a
statement asserting that all humans belong to the same species and that “race”
is not a biological reality but a myth. This was a summary of the findings of
an international panel of anthropologists, geneticists, sociologists, and
psychologists. Today the vast majority of those involved in research on human
variation would agree that biological races do not exist among humans. Among
those who study the subject, who use and accept modern scientific techniques
and logic, this scientific fact is as valid and true as the fact that the earth
is round and revolves around the sun. Most educated people would accept the
facts that the earth is not flat and that it revolves around the sun. However,
it is much more difficult for them to accept modern science concerning human
variation. Why is this so? For the past 500 years, people have been taught how
to interpret and understand racism. We have been told that there are very
specific things that relate to race, such as intelligence, sexual behavior,
birth rates, infant care, work ethics and abilities, personal restraint,
lifespan, law-abidingness, aggression, altruism, economic and business
practices, family cohesion, and even brain size. We have learned that races are
structured in a hierarchical order and that some races are better than others. There is no inherent relationship
between intelligence, law- abidingness, or economic practices and race, just as
there is no relationship between nose size, height, blood group, or skin color
and any set of complex human behaviors. These teachings have led to major
injustices to Jews and non-Christians, to blacks, Native Americans, and others
during colonial times; to African Americans during slavery and reconstruction;
to Jews and other Europeans during the reign of the Nazis in Germany; and to
groups from Latin America and the Middle East, among others, during modern
political times. Many of our basic policies of race and racism have been
developed as a way to keep these leaders and their followers in control of the
way we live our modern lives. These leaders often see themselves as the best
and the brightest. Much of this history helped establish and maintain the
Spanish Inquisition, colonial policies, slavery, Nazism, racial separatism and
discrimination, and anti-immigration policies. Recent studies have shown us
that humans have been migrating since Homo sapiens evolved some 200,000 years
ago. This migration has not been in one direction but had happened back and
forth. Our genes have been mixing since we evolved, and our genetic structure
looks more like a complex, intermixed trellis than a simple candelabra. Because
of the extensive evidence for genetic interchange through population movements
and recurrent gene flow going back at least hundreds of thousands of years ago,
there is only one evolutionary lineage of humanity and there are no subspecies
or races. . . . Human evolution and population structure has been and is
characterized by many locally differentiated populations coexisting at any
given time, but with sufficient contact to make all of humanity a single
lineage sharing a common, long-term evolutionary fate. The concept of human
races is real, but it is not a biological reality, however, but a cultural one.
Race is not a part of our biology, but it is definitely a part of our culture.
Race and racism are deeply ingrained in our cultural history. It seems that the belief in biological human races,
carrying along with it the prejudice and hatred of “racism,” is so embedded in
our culture and has been an integral part of our worldview for so long that
many of us assume that it just must be true. - Summary of an article By Robert Wald Sussman
La
race est un mythe - En 1950,L' Organisation des Nations Unies pour
l'Education, la Science et la Culture (UNESCO) a publié une déclaration
affirmant que tous les humains appartiennent à la même espèce et que la 'race'
n'est pas une réalité biologique mais un mythe culturel. Cette déclaration est
un résumé des conclusions d'un groupe d'experts, anthropologues, généticiens,
sociologues et psychologues. De nos jours une large majorité de ceux qui ont
travaillé dans le domaine de la recherche sur les variations génétiques ou sur
les modifications culturelles de l'homme seraient d'accord pour affirmer que
les races biologiques n'existent pas au sein des humains. Parmi les
scientifiques qui effectuent des recherches sur ce sujet, qui utilisent les
techniques et la pensée logique moderne, cette affirmation est aussi vraie que
de dire que la terre est ronde et tourne autour du soleil. Les gens instruits
accepteraient le fait que la terre n'est pas plate et qu'elle tourne autour du
soleil. En revanche, accepter les réalité des sciences modernes sur les
variations génétiques et les modifications des êtres humains paraît beaucoup
plus compliqué. Pourquoi ? Ces 500 dernières années, on nous a inculqué les
méthodes pour interpréter et comprendre le racisme. On nous a indiqué les
données précises relatives à la race, telles que l'intelligence, le
comportement sexuel, le taux de natalité, les soins aux enfants, les normes et
compétences dans le travail, privation de liberté, durée de la vie, respect des
lois, agression, altruisme, pratiques économiques et d'entreprise, cohésion familiale
et même taille du cerveau. Nous avons appris que les races sont classifiées
dans un ordre hiérarchique défini au sein duquel certaines races sont mieux que
les autres. Il n'existe aucune relation inhérente entre le respect des lois,
les pratiques économiques et la race, tout comme il 'existe aucun lien entre la
taille du nez, la taille du corps, le groupe sanguin ou la couleur de peau et
une série de comportements humains complexes. Cet apprentissage est à l'origine
des principales injustices envers les Juifs, les non-Chrétiens, les Noirs, les
Natifs d'Amérique, les Afro-Américains, souche des inégalités sur lesquelles se
sont construits les régimes totalitaires, le colonialisme, le Nazisme, les
guerres de religions, l'esclavage. Les temps modernes témoignent encore de
certaines survivances notamment envers le Monde Arabe, les Musulmans ...etc. Les
nombreuses politiques sur la race et le racisme se sont développées en devenant,
pour les dirigeants, un moyen de contrôle sur nos manières de vivre l'époque
moderne et de garder leur pouvoir ; car ils se considèrent comme meilleurs et
plus intelligents. La plupart de cette histoire a contribué à la mise en place
et au maintien des régimes d'inquisition en Espagne, des politiques coloniales,
de l'esclavage, du Nazisme, de la discrimination raciale et des politiques
strictes de lutte contre l'immigration. De récentes études on montré que les
humains ont immigré depuis l'homo-sapiens il y a 200 000 ans. Cette ancienne
migration ne s'est pas faite dans une seule direction mais s'est poursuivie au
gré de nombreux méandres successifs. Depuis l'aube de notre évolution, nos
gènes sont en constante mutation et notre structure génétique ressemble plus à
un canevas de types humains entremêlés qu'à un simple candélabre. Compte tenu des
nombreuses preuves de mutations génétiques grâce aux mouvements de populations
et au flux génétique régulier que l'on retrouve déjà des centaines de milliers
d'années auparavant, il n'existe dés lors qu'un lignage unique de l'humanité et
les sous-espèces ou races n'existent pas. L'évolution des hommes et la
structure des populations ont été et sont encore caractérisées par de
nombreuses populations localement différenciées qui coexistent à un moment
donné , et se rapprochent suffisamment pour faire de l'humanité un lignage
unique destiné à partager un processus évolutif commun à long terme. Le concept
de race humaine est réel, mais ne correspond à aucune réalité biologique mais
plutôt culturelle. La race ne concourt pas à notre héritage biologique, mais fait
résolument partie de notre héritage culturel. Race et racisme sont profondément
enracinés dans notre histoire culturelle. Il apparaît que la conviction de
l'existence de races humaines biologiquement hétérogènes portant avec elle les
préjudices et la haine issus du racisme fait si malheureusement bien partie de
notre culture qu'on en croit naïvement le postulat. Résumé et traduction d'un
article de Robert Wald Sussman
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