4/07/2011



Dukha - the Lords of the Taiga
Highly distinct from the steppe grasslands found in much of Mongolia, the habitat classified as taiga, dominated by forested areas and high tundra, forms the northern-most tip of Mongolia, providing home range for the world's southern-most indigenous reindeer herders.
Inhabitants of the Eastern Sayan region, where today North Mongolia meets Tuva Republic have the same genealogy, language and traditions but the events of the past separated them by borders, the Dukha being the only ones remaining outside Russian Federation. The land of nomadic Dukha is one of the most isolated and austere places in the Northern hemisphere.
Today, the Dukha represent Mongolia's smallest ethnic minority, with approximately 45 households herding reindeer. Their spiritual traditions are powerfully defined by shamanist beliefs and among the most enduring in the world. They are, to varying degrees, facing threats to their cultural survival, including transitions to market-based economies, tourism, global warming, language loss and assimilation into the dominant majority.
More picutres here – intégralité du reportage ici :http://www.uluckecik.com/index.php?/dukhalar/   

Dukha – Les Seigneurs de la Taïga

L’environnement de la taïga se distingue particulièrement des plaines des steppes de la Mongolie par ses forêts boréales de conifères et par la haute toundra qui forme un promontoire à l’extrême nord de la Mongolie offrant ainsi une étendue habitable aux bergers de rennes qui vivent le plus au sud de cette région du monde.
Les habitants de la région Sayan occidentale vivent aux confins du nord de la Mongolie et de la République de Tuva et partagent les même généalogies, langue et traditions, mais l’histoire les a séparés par des frontières et les Dukha sont les seuls hors du territoire de la Fédération de Russie. Le territoire des nomades Dukha est l’un des endroits les plus isolés et austères de l’hémisphère nord. De nos jours les Dukha représentent la plus petite ethnie avec environs quarante cinq foyers de bergers de rennes. Leur tradition spirituelle chamaniste est particulièrement bien conservée. De manière nuancée ils font face aux menaces contre la survie de leur culture, dont la transition vers une économie de marché, le tourisme, le réchauffement climatique, la perte de leur langue et l’intégration au sein d’une majorité dominante.   

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