Saving Mount Everest
Restoring Dignity to the Mountain: Liberating Mount Everest from Rubbish
A project from EcoHimal and Everest Summiteers' Association (ESA) with international partners
Chomo lungma – Mother Goddess of the Universe, as she is known to the Tibetans.
Sagarmatha – so high that no bird can fly, as the Nepalese say
Mount Everest – the international name of the world’s highest summit.
However you call it, this matchless peak has awakened human longings and attracted mountaineers from all over the globe, as if by magic. Since the first successful summit expedition in 1953 the stream of visitors has grown and grown.
In 1976, Sagarmatha National Park was established, as one of the first national conservation areas in Nepal; only three years later, UNESCO followed up by declaring it a World Natural Heritage.
The Everest region soon developed into a major tourist destination. The steep increase in the numbers of visitors has entailed a considerable burden on the natural surroundings, including the emergence of a veritable mountain of rubbish, from Base Camp and up into the high ‘death zone’. Also the local Sherpa villages and lodges along the trekking routes lack sustainable, responsible approaches to dealing with waste.
Sauver le Mont Everest
Rendre sa dignité à la montagne : permettre au Mont Everest de se débarrasser de ses poubelles
Un projet Ecohimal et Everest Summiteers' Association (ESA) et des partenaires internationaux
Chomo lungma – Déesse Mère de l’univers, chez les tibétains.
Sagarmatha – aussi haut que le vol d’un oiseau, disent les népalais
Mont Everest – internationalement reconnu comme le plus haut sommet du monde.
Quelque soit le nom qu’on lui donne , l’inaccessible sommet a réveillé les désirs humains et attiré les alpinistes du monde entier comme par magie. Depuis le succès de l’expédition de 1965, le flot des visiteurs est incessant.
En 1976, le Parc National Sagarmatha est implanté comme premier espace national protégé au Népal ; trois ans plus tard l’UNESCO le déclare Patrimoine Naturel Mondial.
La région de l’Everest se développe et devient une destination touristique de première importance. L’accroissement brusque du nombre de visiteurs a provoqué un lourd fardeau pour l’environnement naturel, dont l’apparition de véritables montagnes de poubelles, depuis les ‘camps de base’ jusqu’aux hauteurs maximales des sommets. Les villages de Sherpa le long des chemins de randonnées n’ont pas les moyens durables de traiter les déchets.
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